A Shanghai maintenant, on a de superbes spécimens comme Meirong, une beauté chinoise à gros seins naturels, enfant de l’ouverture du pays au capitalisme, elle a bu du lait de vache et mangé de la viande rouge pendant son adolescence, d’où la silhouette exceptionnellement pulpeuse qui change des standards de beauté chinoise, souvent maigre. Mei arbore fièrement ses gros seins bien lourds, nue sur un lit aux draps blancs, après une coucherie avec un milliardaire de Shanghai. Nous aussi on aimerait bien faire swinger notre baguette chinoise entre les deux grosses mamelles de cette bombasse.
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